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Partenariats | Préserver la création de valeur des PME

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Depuis sa création, Mon Entreprise – Ma Réussite concrétise les partenariats pertinents dédiés à la valorisation, au développement et à la préservation des intérêts de tous les entrepreneurs. Celui qu’Amandine Cruzel a initié avec Didier Viger il y a quelques années correspond précisément à cette approche. 

Créativité, flexibilité, anticipation et détermination forment des qualités phares pour tout chef d’entreprise souhaitant lancer son projet entrepreneurial puis le faire perdurer. Ceci étant dit, il est essentiel qu’il sache également bien s’entourer. D’une part, en interne, en s’associant avec les bonnes personnes et en embauchant les talents qui participeront au succès de son business. D’autre part, en mettant en place les partenariats pertinents qui sauront appuyer son positionnement par le leur. Et ce, tout en servant l’approche singulière qu’il a de ses affaires et de ses cibles en faisant écho à cette dernière.

Depuis sa fondation par Amandine Cruzel, l’organisme de formation Mon Entreprise – Ma Réussite s’inscrit pleinement dans cette stratégie. Dans cette optique, des partenariats clés ont été inaugurés régulièrement afin d’appuyer toujours plus la démarche d’Amandine. une démarche destinée à préserver la création de valeur des petites et moyennes entreprises. C’est notamment le cas avec Didier Viger, ingénieur électricien de formation. Celui-ci s’est rapidement tourné vers le monde de l’entrepreneuriat en créant plusieurs activités dans différents secteurs d’activité. Avant de s’engager pleinement dans l’accompagnement personnalisé des entrepreneurs dans les domaines de la fiscalité, de l’immobilier, de la comptabilité et de la gestion.

Les fruits de l’expérience que l’on partage

Installé aujourd’hui à Langon en Nouvelle Aquitaine, Didier Viger fait partie de ces hommes dont le parcours parle pour eux. Il débute sa vie professionnelle en tant que salarié dans une entreprise de fabrication de sirops. Il passe rapidement du statut de manœuvre à celui de contremaître. Didier n’a pas encore 20 ans. Ce qui n’empêche pas ses patrons de déceler chez lui une forte ambition et son grand sens des responsabilités. “Cette promotion a eu lieu dans le cadre de la création d’une seconde société voulue par mes patrons de l’époque”, se souvient-il fièrement. “J’étais à la tête d’un effectif de 65 personnes.”

Il reste trois ans au sein de cette société avant que son désir d’entreprendre ne l’encourage à se lancer dans sa propre aventure. Tout d’abord, il monte une société de service spécialisée dans le secteur de l’électricité. Nous sommes en 1979 : Didier a 21 ans. Une vingtaine de collaborateurs forment l’effectif de cette première affaire. Puis il crée un commerce d’électroménager. Mais c’est avec son ex-épouse pharmacienne qu’il ose changer complètement de registre en créant un restaurant semi-gastronomique dans un petit village déserté du Lot. “Au bout de quatorze ans d’existence, notre établissement s’était fait un nom et comptait une douzaine de salariés. En outre, il avait encouragé trois autres restaurants et une brasserie à s’installer dans le village.” De quoi redynamiser celui-ci durablement.

Changer de cap pour changer la donne

Au contact de nombreux professionnels, chefs d’entreprise et représentants institutionnels locaux durant toutes ses aventures entrepreneuriales successives, Didier Viger finit par tirer les enseignements de ses rencontres et expériences passées. Pour lui, si toute entreprise est aussi bien un challenge extraordinaire qu’un changement de vie à bien négocier, “j’ai également constaté durant ma carrière que de nombreuses PME souffraient parce qu’elles faisaient des bêtises par ignorance.” Il n’en fallait pas moins à Didier pour commencer l’écriture du nouveau chapitre de sa vie professionnelle. Dès lors, il décida de le consacrer, entièrement et humblement, aux courageux entrepreneurs.

Autrement dit, ceux partant de rien et créant de la valeur à force de travail, de savoir-faire, de remise en question et d’engagement. Ainsi, Didier Viger conçoit son offre globale de formation. C’était il y a un peu plus de dix ans maintenant. Cette offre s’adresse à tous les entrepreneurs quel que soit leur secteur d’activité. L’objectif revendiqué de cette dernière est de leur éviter de refaire les mêmes erreurs que lui a pu commettre puis qu’il a résolues de lui-même. “Je ne suis pas un théoricien, je suis un praticien, souligne-t-il. “Le contenu de mes formations reposent sur des choses réelles, mon expérience ainsi que les réalités de mes clients.”

Bien considérer les réalités de terrain

“Avant de proposer telle ou telle formation et/ou dans quel ordre les suivre, je mène une à deux découvertes approfondies de mon client pour discerner ses besoins, ses envies, explique Didier Viger. “En fonction des éléments qu’il partage avec moi, je lui chiffre les travaux que je juge nécessaires pour qu’ils lui soient utiles pour sa propre entreprise.” Partir des réalités de la petite ou moyenne entreprise pour confectionner une formation sur mesure : une approche qui se distingue d’autant plus par le fonctionnement et le contenu mêmes de celle-ci.

En effet, dans le cas par exemple de la formation en comptabilité et gestion axée sur l’utilisation du logiciel EBP agréé par les services de l’État, celle-ci intègre :

  • Un changement de statut de l’entreprise : au profit de la SAS ou de la SASU permettant une plus grande liberté d’organisation et de gestion.
  • Une immersion complète dans le quotidien de l’entrepreneur qui la suit, au-delà des enseignements théoriques dispensés en premières journées.

Pour en avoir elle-même bénéficié avant le changement de statut de Mon Entreprise – Ma Réussite, Amandine Cruzel se rappelle : “Didier s’imprègne complètement des problématiques liées aux réalités de l’entreprise de son client. Après deux jours de théorie sur la fiscalité et la gestion, on travaille durant quatre autres journées avec les chiffres, les documents (factures, devis…) et les données de l’entreprise sur le(s) propre(s) logiciel(s) de l’entrepreneur. C’est très efficace et cela permet d’être plus rapidement opérationnel après la formation. Cette ligne directrice est vraiment pertinente.”

Partenariats : des valeurs communes à affirmer ensemble

Au-delà de l’évidence que leur partenariat suggère, Didier Viger et Amandine Cruzel incarnent aussi l’importance de l’opportunité tout comme celle de savoir la saisir. Un autre credo, s’il en est, qui colle à l’entrepreneur qui réussit. “Didier met toute son énergie à protéger la création de valeur des chefs d’entreprise”, confie Amandine. Il les cocoone et se positionne à leurs côtés pour faire face aux épreuves de tous les jours. C’est un peu le “justicier” des petites et moyennes entreprises.”

Une perspective appliquée également par Mon Entreprise – Ma Réussite depuis ses débuts à travers une offre de formation complète visant à leur donner les meilleures méthodes pour développer leur portefeuille de clients idéaux et l’engagement de ces derniers sur les réseaux sociaux.

Des partenariats au service d’une connaissance utile et partagée

“Les gens ne trichent pas”, rappelle Didier Viger. “S’ils ne sont pas satisfaits des choses qu’on leur propose, ils savent le dire ou ils ne disent rien du tout. Mais quand on reçoit comme Amandine un certain nombre de félicitations de leur part, c’est peut-être pour retranscrire une situation bien réelle.” Les partenariats les plus évidents sont aussi ceux qui repositionnent l’humain au cœur de leur existence tout comme cette soif d’apprendre pour que la connaissance circule en permanence. Et ce, dans l’intérêt des PME.

En cela, le partenariat entre Amandine et Didier est un exemple à suivre dès aujourd’hui et à l’avenir. À l’heure où certains évoquent déjà les mutations surprenantes du monde du travail d’ici une trentaine d’années et le fait que la moitié des salariés d’aujourd’hui seront les prestataires indépendants de demain, les deux partenaires ont déjà pris position. En outre, ils montrent la voie a de plus en plus de porteurs de projet et d’entrepreneurs déjà en activité. Âgé aujourd’hui de 70 ans, Didier Viger l’affirme : “Tant que ma tête et mes jambes fonctionneront, je continuerai de faire ce que je fais. Car j’aime ce que je fais. J’aime défendre les intérêts des petites et moyennes entreprises.” À l’instar de Mon Entreprise – Ma Réussite.

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